Le premier facteur à prendre en compte est le vieillissement de la population, qui comprend les personnes âgées de 75 à 84 ans et les personnes dites « jeunes âgées » de 65 à 74 ans, qui représentent ensemble environ 20 % de la population. Par conséquent, l'âge de la population doit être surveillé pour mieux comprendre la division qui existe dans les différentes régions, afin de décentraliser les choix politiques de santé et diversifier l'offre de santé en fonction de la population cible à laquelle elle s'adresse dans la région même.

 

Le deuxième facteur qui a été mis en évidence avec la pandémie, ce sont les personnes considérées comme "fragiles", qui ont été considérées comme prioritaires, étant donné le plus grand nombre de décès dans le monde.

Dans le modèle organisationnel actuel, appelé « Parcours d'aide au diagnostic thérapeutique », il existe une grande limitation: il n'est pas possible de prendre en compte les maladies chroniques du patient et donc pour y remédier,

il faut utiliser davantage de ressources de santé. La meilleure solution pour le Plan de Soins Individualisé est de prendre en compte les caractéristiques cliniques et sociales de chaque patient et de donner au médecin général un rôle central, afin que le patient en question ne doive plus s'adresser à plusieurs centres spécialisés, mais puisse être  surveillé dans un seul centre.

 

Le troisième facteur qui doit être utilisé est la décentralisation de la santé. Ce sujet a été beaucoup traitée pendant la pandémie, où la différence entre les régions était encore plus perceptible.

Un exemple peut être le nombre différent d'écouvillons effectués entre les différentes régions, qui conduit donc à des résultats disproportionnés, lors de la comparaison des données.